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Date de création : 29.09.2009
Dernière mise à jour :
11.04.2024
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on a perdu yogi
melle ma dit que son blog avait été piraté et quelle allait en faire un autre mais depuis pl
Par le-coin-de-verdure, le 03.08.2025
bonjour,
quel le joie de vous lire et savoir que mona ait marqué tant de danseuses parmi nous.
j'ai été son
Par Gwendoline , le 30.07.2025
j'ai rêvé a la petite souris...
Par Anonyme, le 17.07.2025
bonjour je suis le petit fils de mona rosalba à disposition pour vous renseigner
Par Anonyme, le 10.07.2025
petit coucou.j espère que tu vas bien.mon nouveau blog d images ia.amitiés http://lafarfo uille.centerbl og.ne
Par koukla, le 04.07.2025
Le siècle de la « dansomanie »
Au XIXe siècle, le bal fait partie, selon des modalités variées, des loisirs de toutes les couches de la population. En automne et en hiver, la saison mondaine est rythmée par un certain nombre de bals privés, réservés à la haute société, dont la fonction la plus importante est la préparation des alliances matrimoniales. Ouverts à tous (mais payants), les bals publics apparaissent à Paris sous le Directoire et regroupent salles d’hiver et jardins d’été. Le phénomène connaît son apogée sous la monarchie de Juillet ; dans les jardins installés pour la plupart aux Champs-Élysées – comme le bal Mabille – triomphent la valse, la polka et la mazurka. La décadence des bals publics à partir du Second Empire est contemporaine de l’essor des guinguettes le long de la Seine et de la Marne. Alors que les anciennes guinguettes établies aux barrières de Paris disparaissent, des bourgades comme Charenton, Suresnes ou Chatou (avec la célèbre maison Fournaise immortalisée par Renoir) accueillent dans leurs buvettes dansantes une clientèle parisienne venue goûter aux joies d’une nature plus ou moins factice. Dans ces lieux, bientôt appelés « bals musettes », apparaissent après 1900 de nouvelles danses importées de l’étranger : boston, matchiche, cake-walk. La danse s’impose ainsi comme un loisir pratiqué par tous. L’étudiant qui va « guincher » avec une grisette dans un bal de quartier, le fonctionnaire que sa carrière oblige à se rendre avec son épouse au bal de la préfecture, la jeune fille qui fait ses débuts lors d’un bal donné au faubourg Saint-Germain : tous participent à cette « dansomanie » observée par les contemporains.
Auteur : Jean-Claude YON
(source: http://www.histoire-image.org/site/etude_comp/etude_comp_detail.php?i=691)